Je vais débuter en te disant de ne jamais laisser personne te convaincre que tu ne peux pas GUÉRIR.
Même si ca fait 5-10-20-30-40 ans que tu espère aller mieux, tu dois garde le cap!
Quand les marins s'embarquaient pour un long périple en mer autrefois, il n'y a avait les cartes d'aujourd'jui ni les appareils de repérage actelles.
Ils ne pouvaient compter que sur eux, sur le talent à mesurer, à se repérer, à lire la mer! Ils devaient aussi entretenir en eux-même leur espoir propre! Car c'est de cet espoir que le matelot était compétent à continuer à naviguer et c'est de cette compétence à naviguer qui maintenant l'humeur de ce malelot!
Oui, bien sûr, chaque journée était loin d'être "rose" et "telle que souhaité". Il y a avait la faim, la pluie, le froid, la rudesse de la houle mais il se devait pour lui-même tout d'abord de s'adapter à ces éléments. Il se devait pour lui-même de trouver une solution pour traverser chacun de ces obstables. Soit contrôler sa faim, si les vives venaient à pourrir oui s'épuiser plus rapidement, ajouter un linge de plus si le temps était plus froid, s'abriter si la pluie était trop intense. Ménager ses efforts si l'épuisement le prenait. Il devait toujours tenir compte de tout cela à chaque instant.
Notre cheminement vers la guérison est un périple aussi intense que ces traversées en mer. On tente de fixer un cap pour "aller mieux" mais on ne sait jamais quand atteindront le "nouveau monde".
Mais oui, malgré les "éléments qui se déchainent" garder le cap soit maintenir ton espoir est la chose la plus important qui soit!
Car l'espoir est une énergie qui veut circuler en chacun de nous! Mais pour cela, ton devoir est de continuer à la faire circuler!
Et de l'espoir tu en as grand besoin pour te mener vers ta guérison! Car l'un est indissociable de l'autre! Comme 2 facettes d'une même médaille! Comme l'olympien qui, une fois, sur le podium dit "J'y suis parevenu car j'y ai toujours cru malgré!